Encore une histoire récurrente, dans cette situation le conducteur était sous l'emprise de l'alcool et d'héroïne. Cependant, comme l'a souligné le juge, le policier aurait pu choisir de se mettre à l'abri au lieu de tirer et tuer.
Ce jeune policier manquait d'expérience et était qualifié de "cowboy" par ses collègues. Cette affaire soulève à nouveau des interrogations sur le port d'armes par des policiers insuffisamment formés et mal encadrés par les institutions.
Il est important de rappeler qu'un policier n'est pas un juge ; quoi qu'il en soit, il ne doit pas faire usage de son arme s'il a la possibilité d'éviter cela.
Les faits se sont déroulés en 2018, une histoire sombre qui est malheureusement trop souvent répétée de nos jours.
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source le journal Le Quotidien, indépendant Luxembourg
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