Vous pensez échapper aux dettes en renonçant à un héritage ? Attention, ce n’est pas si simple ! Madame-Raleuse.com vous dévoile les pièges sournois qui pourraient bien transformer votre refus en véritable cauchemar. (source : RTBF) Vous êtes prêt à découvrir pourquoi renoncer pourrait vous coûter plus cher que prévu ?
« Hériter ou ne pas hériter : telle est la question ! »
Ah, l’héritage ! Ce doux rêve où l’on s’imagine récupérer la fortune cachée d’un grand-oncle mystérieux, vivant en ermite sur une île privée... Bon, revenons sur Terre, en Belgique, où plus de 30 000 personnes ont renoncé à un héritage rien qu'en 2024. Pourquoi ? Oh, juste une petite question de dettes. Parce que recevoir la collection de factures impayées de feu Mamie Jeanne, ce n'est pas exactement ce qu'on appelle « un coup de chance ».
D'ailleurs, si vous pensiez qu'un héritage, c'était un cadeau du ciel, attendez un peu. Si le montant dépasse le sacro-saint plafond de 6093,20 euros, vous pourriez bien finir par goûter au pâté... de dettes, bien sûr ! Et tout cela, même après avoir fait la grande scène du renoncement devant un notaire.
Quand renoncer semble trop beau pour être vrai…
La Belgique a tout de même le chic pour rendre les choses simples… en apparence. « Ah, vous ne voulez pas de l'héritage ? Pas de problème, passez chez le notaire, c'est gratuit ! » Mais attention, il y a un hic, un tout petit détail qui pourrait bien vous faire regretter ce café offert par le notaire. Si l’héritage dépasse ces fameux 6093,20 euros, adieu la gratuité, bonjour la dette ! Et là, on parle d’un cauchemar que même les héritiers de Charles Dickens n’auraient pas imaginé.
Parce que oui, c’est bien beau de dire « non merci » à l’héritage quand on pense qu'il ne contient que des vieux meubles et une montagne de créances. Mais imaginez, juste après avoir signé votre renonciation, que l'on découvre un petit pactole caché sous le matelas. Surprise ! Vous avez renoncé, et il est déjà trop tard. Et là, la seule chose que vous récupérez, ce sont les regrets et peut-être une facture d'enterrement en bonus.
Pas touche aux meubles, sauf si vous voulez tout garder
Et puis, parlons-en des meubles. Vous pensiez peut-être pouvoir faire un peu de place dans votre grenier en vidant celui du défunt ? Que nenni ! Tenez-vous bien, toucher ne serait-ce qu'une chaise pourrait être interprété comme un acte d’acceptation tacite de l’héritage. Et là, hop, vous voilà officiellement héritier, avec les dettes qui vont avec ! Un mot d’ordre donc : ne rien faire, ne rien toucher, pas même un bibelot ! Vous risqueriez de devoir dire adieu à votre renonciation et bonjour à un joli courrier de créanciers.
Bref, la prochaine fois que vous envisagez de renoncer à un héritage, soyez sûr de ne pas dépasser cette fameuse somme magique et que mamie n'a rien caché sous son matelas. Sinon, vous finirez comme tant d’autres Belges, à courir chez le notaire, en espérant ne pas vous retrouver coincé avec une montagne de dettes, et un canapé démodé que vous n’avez même pas choisi !
Citation
" Refuser un héritage, c’est parfois hériter… de la dette !"
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Avez-vous déjà renoncé à un héritage sans savoir ce qui se cachait vraiment derrière ? Partagez votre expérience dans les commentaires, on est curieux !
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