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La Belgique réinvente le marché noir : le scandale des adoptions illégales dévoilé


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Vous pensiez que le trafic d’enfants était réservé aux contrées lointaines ? Détrompez-vous ! Découvrez comment la Belgique a transformé les adoptions illégales en un véritable sport national dans ce récit aussi croustillant qu'un cornet de frites. Madame-Raleuse.com vous plonge dans les coulisses d’un scandale qui fait rougir de honte le pays des gaufres et des frites. Lisez la suite pour un voyage aussi absurde qu’effarant ! (source : RTBF)


Les secrets de l'adoptions illégales : la Belgique à l'œuvre


Ah, l’Europe des années 50 à 80 ! Une époque où le style de vie était rétro, les voitures étaient un peu carrées et, visiblement, le trafic d’enfants était la nouvelle tendance belge. Qui aurait cru que la Belgique, avec ses fameuses gaufres et ses frites, se lancerait dans une activité aussi lucrative que… le marché noir des adoptions ? Oui, mesdames et messieurs, c’est la Belgique qui a transformé l’adoption illégale en un véritable sport national !


Laissez-moi vous raconter l’histoire de Christophe de Neuville, né sous X près de Dunkerque. Imaginez-le, errant sur la plage de Malo-les-bains dans une quête épique pour retrouver sa mère biologique. Le tout avec la précision d'un détective en quête d'indices sur des odeurs et des sons. À peine sorti du ventre de sa mère, il a été exfiltré comme un agent secret dans le monde du marché noir des bébés.


Le processus était aussi élégant qu’un ballet de danseurs aveugles : un simple acte de naissance en France et hop, le bébé disparaissait pour atterrir en Belgique, sans même un tampon sur son passeport imaginaire. Les enfants étaient expédiés en Belgique comme on enverrait des colis Amazon – sauf que là, les frais de port se comptaient en milliers de francs belges et les étiquettes étaient laissées au bon vouloir des adoptants.


Quand l'église et les frais de port se mélangent : une comédie Belge


Vous imaginez la scène ? La procédure légale belge a fait de cette opération un véritable chef-d'œuvre de l’absurde. Les parents adoptants devaient payer une fortune pour obtenir leur précieux bambin, comme si les bébés avaient été produits en série. On parle de sommes allant jusqu’à 150.000 francs belges ! J’imagine que cela incluait un joli petit diplôme pour « l’achat de bébé » certifié, avec un tampon en or.


Quant au clergé belge, ils ont aussi joué leur rôle dans ce drame sordide. Leur porte-parole nous assure que l’Église n’était pas dans le « contexte d’un achat » mais plutôt dans celui de « contributions aux frais ». Ah, donc c’était juste un don très généreux à une œuvre d’adoption privée, et non une participation dans un trafic d’enfants. Rassurant, non ?

Malgré les révélations faites il y a dix ans, la situation reste aussi limpide qu’un étang de boue. Les victimes réclament une enquête parlementaire pour faire éclater la vérité sur ce scandale. En attendant, Christophe de Neuville a déposé plainte, et le Parquet fédéral pourrait enfin se lancer dans ce thriller d'adoption illicite.


Donc, la prochaine fois que vous vous régalerez d'une gaufre belge, souvenez-vous que la Belgique a un passé caché aussi croustillant que ses fameuses spécialités. Qui aurait cru qu’un pays avec une telle expertise en chocolat aurait aussi su manier l'art du trafic d'enfants ? Il semblerait que dans le pays des frites et des bandes dessinées, la réalité est parfois bien plus extravagante que la fiction !


Citation

" Quand les bébés sont expédiés comme des colis, il y a de quoi se poser des questions sur le prix de l'humanité."

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Quelles sont vos réactions face à ce scandale d’adoption illégale en Belgique ? Partagez vos pensées en commentaires !


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