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Action du collectif 200 à Soignies

Hier soir, une conférence axée sur les défis rencontrés par les médias publics, couramment appelés "mainstream", s'est tenue à Soignies, au Rotary. Ces médias sont financés à la fois par les impôts et par le soutien de certains individus fortunés. L'organisateur de cette conférence était Jean-Paul Philippot, l'administrateur général de la chaîne RTBF.


Le collectif Action 200, s'opposant fermement à l'absence de débats consécutifs aux effets secondaires liés à l'obligation de se faire injecter via le passe sanitaire, ainsi qu'aux conséquences potentielles sur la pression et la perte d'emploi, était présent pour exprimer son mécontentement face à l'absence de débat public dans ces médias publics. Monsieur Philippot défend l'importance de ces médias, mais c'est précisément là que réside le problème. Lorsqu'ils perdent leur impartialité et se soumettent à l'idéologie gouvernementale et aux intérêts des ultra-riches, ils portent préjudice à la société. Cela a été illustré par la sanction infligée à Kairos pendant cette période.


Cependant, ne devrions-nous pas considérer la presse comme le quatrième pilier de toute démocratie ? Ne devrait-elle pas se limiter à rapporter les faits et à les débattre de manière libre, sans être prise pour cible et réprimée sévèrement par le gouvernement ? Ne devrait-elle pas remettre en question ses propres pratiques et se référer à la Charte de Munich ?


Enfin, l'action menée hier soir a été entendue, mais elle n'a pas véritablement convaincu les membres inconditionnels de cette tribune, qui semblent être déconnectés de la réalité sur le terrain et des conséquences néfastes que cela entraîne dans notre société actuelle.


Action du collectif 200 à Soignies

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